En faisant payer une consigne à l’achat, l’incitation à ramener ces contenants dans un lieu dédié remboursant la consigne aurait sans doute amplifié le taux de retour des bouteilles. Mais encore une fois ce dispositif était envisagé comme pour le recyclage avec un circuit plein de méandres conduisant à faire un long parcours avant sa réutilisation.
Les sénateurs ont dit non au projet de consigne sur les plastiques évoquant que cette mesure était favorable à Coca-cola.
Les collectivités ayant fait d’important investissements dans le tri et qui vendent leurs déchets à des sociétés spécialisées, craignent de perdre des ressources avec la consigne. Pour ces raisons elles ont dû influer sur les sénateurs. Enfin les députés ont cafouillé lors d'un vote en commission. Puis, le gouvernement a temporisé en proposant une expérimentation dans les territoires volontaires.
Les militants et organisations écologistes ne sont pas favorable à la consigne plastique car par principe ils sont réfractaires au plastique en général. (Source L'Express.fr)
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